L’épilation laser des poils foncés sur une peau bronzée, métissée ou noire, a longtemps été un sujet délicat en médecine esthétique.
Entre manque d'efficacité, inconfort ou risques de brûlures, rares sont les personnes appartenant aux phototypes 5 et 6 de l’échelle de Fitzpatrick* qui ne se sont pas senties un tant soit peu défavorisées par rapport aux autres en matière d'épilation laser.
Une inégalité dermatologique et technologique qui appartient cependant désormais au passé, grâce à l’arrivée de nouveaux épilateurs lasers médicaux à la fois plus efficaces, plus abordables financièremebt et procurant un bien meilleur confort pour les patient(e)s concerné(e)s.
Entre manque d'efficacité, inconfort ou risques de brûlures, rares sont les personnes appartenant aux phototypes 5 et 6 de l’échelle de Fitzpatrick* qui ne se sont pas senties un tant soit peu défavorisées par rapport aux autres en matière d'épilation laser.
Une inégalité dermatologique et technologique qui appartient cependant désormais au passé, grâce à l’arrivée de nouveaux épilateurs lasers médicaux à la fois plus efficaces, plus abordables financièremebt et procurant un bien meilleur confort pour les patient(e)s concerné(e)s.
Laser Alexandrite et Nd:YAG LP : les deux poids lourds du secteur de l'épilation laser
Pour schématiser, la plupart des épilateurs lasers médicaux disponibles jusqu’à présent sur le marché français ne permettaient pas une utilisation à la fois efficace, sécurisée et indolore sur tous les phototypes de peau.
A titre d’exemple le célèbre laser Alexandrite, particulièrement efficace pour traiter les patients ayant des poils foncés sur une peau claire, s'avère être inutilisable (risques de brûlures et de dépigmentation) pour éradiquer les poils foncés sur une peau bronzée, métissée ou noire. Ce type de laser est en effet incapable de faire la distinction entre les poils et la peau pour ces phototypes.
La seconde catégorie d’appareils couramment répandue, celle des lasers médicaux Nd :YAG LP, permet quant à elle de traiter quasiment tous les phototypes de peau, y compris métissée ou noire. Malheureusement, les séances d’épilation avec ce type de laser s’avèrent être assez inconfortables voire douloureuses, ce qui constitue un frein réel pour la plupart des patient(e)s.
Le choix était donc jusqu’ici assez limité, pour toutes celles et ceux qui appartiennent aux phototypes 5 et 6.
A titre d’exemple le célèbre laser Alexandrite, particulièrement efficace pour traiter les patients ayant des poils foncés sur une peau claire, s'avère être inutilisable (risques de brûlures et de dépigmentation) pour éradiquer les poils foncés sur une peau bronzée, métissée ou noire. Ce type de laser est en effet incapable de faire la distinction entre les poils et la peau pour ces phototypes.
La seconde catégorie d’appareils couramment répandue, celle des lasers médicaux Nd :YAG LP, permet quant à elle de traiter quasiment tous les phototypes de peau, y compris métissée ou noire. Malheureusement, les séances d’épilation avec ce type de laser s’avèrent être assez inconfortables voire douloureuses, ce qui constitue un frein réel pour la plupart des patient(e)s.
Le choix était donc jusqu’ici assez limité, pour toutes celles et ceux qui appartiennent aux phototypes 5 et 6.
Le laser diode : une technologie idéale pour traiter les peaux foncées à noires
L’arrivée sur le marché français d’une nouvelle génération de laser médicaux à diode, comme le Soprano XLi d’Alma Laser ou l’iPeel proposé par BVA Technologie, est donc une véritable petite révolution dans le monde de l’épilation laser pour les peaux mates, métissées ou noires.
Plus économiques, plus rapides, quasiment indolores et d’une efficacité prouvée, ces lasers diode semblent promis à un bel avenir commercial. Ils représentent en effet un compromis idéal, à la fois pour les médecins et pour les patient(e)s qui appartiennent au phototypes du groupe 5 et 6.
Sur le plan technique, le Soprano XLi et l'iPeel ont des spécifications assez proches : tous deux utilisent une longueur d'onde à peu près identique (808 nm pour l'Ipeel et 810 nm pour le Soprano) et une fréquence de tir rapide (10 pulses/seconde). Le temps d’exposition de la peau au faisceau laser est ainsi réduite à son maximum, ce qui permet de couvrir de plus grandes zones lors d'une même séance tout en évitant les risques de brûlure ou l'inconfort procuré par des lasers traditionnels comme le Nd:YAG LP.
Certaines différences existent toutefois entre l'un et l'autre équipement :
- le Soprano XLi permet de traiter les phototypes de 1 à 5 selon les spécifications du fabricant, là où l'iPeel revendique une utilisation pour tous les phototypes de peaux, 6 inclus.
- L'énergie déployée par le Soprano XLi est sensiblement supérieure à celle de l'iPeel (120 joules/cm2 contre 50 joules/cm2).
- Le Soprano XLi est équipé d'une console de programmation logicielle haut-de-gamme dont est dépourvu son concurrent.
Toutes ces considérations techniques mises à part, ces deux lasers constituent bel et bien une réelle avancée pour l'épilation des peaux foncées à noires, et il y a fort à parier qu'ils rencontreront un franc succès auprès d'une large frange de la population.
Plus économiques, plus rapides, quasiment indolores et d’une efficacité prouvée, ces lasers diode semblent promis à un bel avenir commercial. Ils représentent en effet un compromis idéal, à la fois pour les médecins et pour les patient(e)s qui appartiennent au phototypes du groupe 5 et 6.
Sur le plan technique, le Soprano XLi et l'iPeel ont des spécifications assez proches : tous deux utilisent une longueur d'onde à peu près identique (808 nm pour l'Ipeel et 810 nm pour le Soprano) et une fréquence de tir rapide (10 pulses/seconde). Le temps d’exposition de la peau au faisceau laser est ainsi réduite à son maximum, ce qui permet de couvrir de plus grandes zones lors d'une même séance tout en évitant les risques de brûlure ou l'inconfort procuré par des lasers traditionnels comme le Nd:YAG LP.
Certaines différences existent toutefois entre l'un et l'autre équipement :
- le Soprano XLi permet de traiter les phototypes de 1 à 5 selon les spécifications du fabricant, là où l'iPeel revendique une utilisation pour tous les phototypes de peaux, 6 inclus.
- L'énergie déployée par le Soprano XLi est sensiblement supérieure à celle de l'iPeel (120 joules/cm2 contre 50 joules/cm2).
- Le Soprano XLi est équipé d'une console de programmation logicielle haut-de-gamme dont est dépourvu son concurrent.
Toutes ces considérations techniques mises à part, ces deux lasers constituent bel et bien une réelle avancée pour l'épilation des peaux foncées à noires, et il y a fort à parier qu'ils rencontreront un franc succès auprès d'une large frange de la population.
* Classification des phototypes selon l’échelle de Fitzpatrick :
- phototype 1 : peau très claire, taches de rousseur, cheveux blonds ou roux
- phototype 2 : peau très claire, cheveux blonds ou châtain, yeux clairs
- phototype 3 : peau claire, cheveux blonds ou châtain
- phototype 4 : peau mate, cheveux châtains ou bruns, yeux foncés
- phototype 5 : peau foncée, yeux foncés
- phototype 6 : peau noire
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