Selon les résultats recueillis au cours de cette enquête en ligne, conduite auprès de 1300 femmes représentatives de la population australienne, ces « Beauty Addicts » passeraient environ 60 heures par an à se prélasser dans leurs instituts de beauté préférés.
En terme de priorités, 40% d’entre-elles n’hésiteraient pas à faire passer leurs soins esthétiques avant leur vie sociale, leurs séances de shopping ou encore leurs précieuses heures de sommeil.
On apprend enfin que pour 4% de ces femmes, le passage dans un centre d’esthétique serait directement influencé par leur vie sexuelle.
En terme de priorités, 40% d’entre-elles n’hésiteraient pas à faire passer leurs soins esthétiques avant leur vie sociale, leurs séances de shopping ou encore leurs précieuses heures de sommeil.
On apprend enfin que pour 4% de ces femmes, le passage dans un centre d’esthétique serait directement influencé par leur vie sexuelle.

Au delà de ces résultats un peu futiles et non représentatifs des pratiques esthétiques privilégiées par la majorités des Australiennes, le point clé de cette étude réside dans la confirmation qu’une tendance de fond s’installe dans les habitudes des consommatrices en matière d’épilation : la plupart des techniques épilatoires proposées par les instituts, y compris les plus récentes comme l’épilation à la lumière pulsée ou les Rolls-on électriques pour la cire, sont désormais disponibles pour une utilisation à domicile, et il semble que les Australiennes les plébiscitent de plus en plus.
Une tendance qui a de quoi ravir les marques spécialisées dans les produits d’épilation ou de dépilation comme VEET mais qui est en même temps un sujet d'inquiétude légitime pour les professionnels de l’esthétique, qui risquent de voir une part croissante de leur clientèle leur échapper au profit des soins épilatoires réalisés à domicile.
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Une tendance qui a de quoi ravir les marques spécialisées dans les produits d’épilation ou de dépilation comme VEET mais qui est en même temps un sujet d'inquiétude légitime pour les professionnels de l’esthétique, qui risquent de voir une part croissante de leur clientèle leur échapper au profit des soins épilatoires réalisés à domicile.
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