Un médecin français exerçant à Warren dans l'Etat du New Jersey, vient d’être condamné par la justice américaine pour pratique illégale de la médecine et détention de substances pharmacologiques assimilées à des produits stupéfiants, avec intention de les prescrire à ses clients.
Après avoir plaidé coupable des faits qui lui étaient reprochés le 14 juin 2012, le docteur Gilles Peyrot Des Gachons a été en effet condamné le 31 août à deux ans de mise à l’épreuve par la justice américaine et il perd définitivement le droit de pratiquer la médecine dans l’Etat du New Jersey.
Cette condamnation exceptionnelle est la conséquence d’une plainte déposée par une patiente victime de brûlures, suite à de séances d’épilation laser du maillot pratiquées par le docteur Des Gachons dans son centre Advance Medical Laser de Warren.
Une enquête diligentée par les services du Procureur de Somerset County a alors été ordonnée par la justice et celle-ci a établit que le médecin français se livrait à l’exercice illégal de la médecine, celui-ci n’étant pas détenteur de la licence médicale d’Etat obligatoire.
Après avoir plaidé coupable des faits qui lui étaient reprochés le 14 juin 2012, le docteur Gilles Peyrot Des Gachons a été en effet condamné le 31 août à deux ans de mise à l’épreuve par la justice américaine et il perd définitivement le droit de pratiquer la médecine dans l’Etat du New Jersey.
Cette condamnation exceptionnelle est la conséquence d’une plainte déposée par une patiente victime de brûlures, suite à de séances d’épilation laser du maillot pratiquées par le docteur Des Gachons dans son centre Advance Medical Laser de Warren.
Une enquête diligentée par les services du Procureur de Somerset County a alors été ordonnée par la justice et celle-ci a établit que le médecin français se livrait à l’exercice illégal de la médecine, celui-ci n’étant pas détenteur de la licence médicale d’Etat obligatoire.
Par ailleurs, suite à une perquisition effectuée à son domicile, les enquêteurs ont découvert qu’il était en possession de substances assimilées à des produits stupéfiants ( botox, codéine, lidocaïne, acide hialuronique). En l’absence de la licence d'Etat l’autorisant à détenir et à prescrire de telles substances, celui-ci a été alors placé temporairement en état d’arrestation.
Une bien triste affaire pour ce médecin qui faisait régulièrement l’objet d’articles, d’interviews ou de citations dans la presse française et sur Internet lorsqu’il exerçait encore dans l’hexagone. Mais au pays de l'Oncle Sam, on ne badine pas avec la Loi...
Source : communiqué de presse du bureau du Procureur de Somerset County, NJ (en anglais)
Une bien triste affaire pour ce médecin qui faisait régulièrement l’objet d’articles, d’interviews ou de citations dans la presse française et sur Internet lorsqu’il exerçait encore dans l’hexagone. Mais au pays de l'Oncle Sam, on ne badine pas avec la Loi...
Source : communiqué de presse du bureau du Procureur de Somerset County, NJ (en anglais)
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